Bullet chart et gauge chart GT9
Il s’agit ici de travailler des graphes permettant de montrer pour une variable la distance entre une ou plusieurs valeurs relevées et une valeur de référence. Pour cela, nous utiliserons deux types de représentation: une proche du diagramme à bâtons, le “bullet chart”, et une plus imagée répliquant une jauge comme celle que l’on peut trouver pour les compteurs de vitesse de véhicule, le “gauge chart”.
Les heatmap et les calendar heatmap GT8
Dans ce nouveau post, nous allons traiter d’une forme de visualisation hybride entre le tableau et le graphe: la heatmap (ou en français carte thermique). Celle-ci permet de présenter en un unique visuel une grande quantité de données et autorise de fait la réalisation de comparaisons multiples. Son point de départ est un tableau à deux dimensions établis pour stocker les valeurs à illustrer.
Mes premieres videos de codage de graphes
Le cours de datavisualisation à l’UPHF que je donne sous la forme d’un module polytechnique (dont le nom est “présenter une donnée”) a commencé début février. Il s’organise en distanciel asynchrone. Tous les quinze jours, les étudiants ont accès à de nouveaux contenus (textes, vidéos, données…) que je met à leur disposition via le campus virtuel. L’idée est de les amener assez vite à pouvoir être à l’aise avec les outils de manière à produire leurs propres graphes.
Les diagrammes en gaufre et les isotypes GT7
Pour ce nouveau post de la série GT, qui propose d’illustrer au travers de réalisations simples les différents types des graphes présentés par Jonathan Schwadish dans ses vidéos one chart at a time, nous nous allons revenir sur les diagrammes unitaires et leurs déclinaisons. Nous avions déjà traité d’un de ces graphes dans le post consacré aux dots plots (avec le diagramme de Wilkinson). Leur principe est simple. Il s’agit de mobiliser des formes (ou des symboles) pour figurer les observations ou des groupes d’observations.
Le diagramme en mosaïque et le graphe Marimekko GT6
Continuons notre exploration des graphes permettant d’illustrer une comparaison entre des variables catégorielles. Intéressons-nous aux diagrammes en mosaïque et au graphe de Marimekko (ou Mekko plot). Ceux-ci mobilisent des éléments rectangulaires, les tuiles de la mosaïque, que se combinent dans grand rectangle. Chacune de ses dimensions est attachée à une des variables. Ainsi, on a en abscisses des barres accolées correspondant aux différentes modalités de la première variable et sur les ordonnées empilées les modalités de la seconde.
Le diagramme en points GT5
Jusqu’à maintenant, nous nous sommes concentré sur des diagrammes reposant sur l’exploitation d’un même type de formes géométriques: les barres (ou les bâtons). Dans ce nouveau post de la série GT, nous allons continuer à nous intéresser à la représentation de variables qualitatives dans un but de description ou de comparaison, mais cette fois nous mobiliserons une autre forme: le point. En anglais, on parlera de dot plot.
Le premier a avoir été utilisé est très proche du simple diagramme à bâtons.
Diagramme en barres empilées GT3
Pour ce troisième post de la série GT-graphe type, intéressons-nous à un autre type de diagramme à bâtons, celui avec des barres empilées (stacked bar chart).Il s’agit d’un graphe dans lequel les barres ordinaires sont découpées en fonction de l’effectif de sous-catégories. Cela permet de mettre en évidence comment ces dernières contribuent à la valeur décrite par la barre dans laquelle elles sont inclues. On peut ainsi mettre en évidence dans un seul graphe à la fois les proportions relatives des sous-catégories et le totale des effectifs des catégories.
Graphe et Analyse de fonction avec R
Le premier contact avec une interface de programmation des lycéens de mon époque (le début des années 90) se limitait à la prise en main de calculatrices programmables (TI80 ou Casio Graph…). Nous l’utilisions principalement pour réaliser des tracés de fonctions de manière à vérifier les résultats des calculs que nous effectuions manuellement. Bon,il est vrai que certains y stockaient des antisèches ou y codaient des jeux vidéo rudimentaires (casse-briques, space invaders…).